Revue de Presse 2004/2000 Couverture du 25�me Anniversaire Lettres Articles de Presse Ant�rieurs |
L'HOMMAGE de Janet GREENBERG "J'ai connu MAX-AGOSTINI en 1969 � AIX-EN-PROVENCE o� j'�tais �tudiante � l'�cole des Beaux-Arts, quand Pierre
MARTIN-CAILLE, qui venait de prendre sa retraite, me demanda de l'aider � ouvrir une galerie de tableaux dans son ancien local de Commissaire-Priseur. Je me suis occup�e de MAX-AGOSTINI et de son �uvre � depuis 27 ans!
Bien que les toiles de MAX-AGOSTINI � cette �poque �taient de plus petite taille, plus sombres et plus esquiss�es qu'aujourd'hui, son talent d'Impressionniste �tait d�j� pr�sent � comme un diamant brut qu'il a pu
"tailler et polir" avec des ann�es de travail. Ce passionn� de la vraie peinture ne vivait que pour pouvoir faire son prochain tableau. Il sillonnait les routes pour trouver les champs de coquelicots �blouissants, une plage
ensoleill�e, des jardins pleins de lumi�res et des reflets d'eau des lacs. Qui de nos jours a encore ce talent de Impressionnistes, � traduire la Nature par la lumi�re, les ombres et les couleurs et d'�voquer les �motions de sa
beaut�? Je pense que MAX-AGOSTINI a �t� le dernier de cette race des grands g�nies de la peinture figurative Impressionniste. Bien que musicien et compositeur aussi, il a choisi la peinture pour s'exprimer et jusqu'� ses
derniers jours, je l'ai vu encore � son chevalet. En peignant, il ne pensait plus � sa difficult� de respirer. Notre entente professionnelle � presque trente ans � est d'une extr�me raret� dans cette profession, pas
toujours de bonne notori�t�. La personnalit� de MAX-AGOSTINI y �tait pour beaucoup dans cette long�vit�. Il ne vivait que pour la peinture. MAX-AGOSTINI a v�cu de cette flamme du "feu sacr�" des vrais peintres, qui a
fini par consommer son g�nie � 82 ans. Il nous manquera ..." |